Nouvel album : « Le Jardin des Rêves »

Un jazz contemporain où subtilité et énergie cheminent en bonne entente, un univers musical où mélodie rime avec poésie. « 

Nicole Videmann, Latins de Jazz

En un jeu fluide où les thèmes tournent ostinato une musique envoûtante déploie ses orbes […] »

Maryvonne Colombani, Vagabond Art

Avec Le Jardin des Rêves, deuxième album du quintet Oni Giri, le pianiste Rémi Denis signe huit compositions inspirées tantôt par son quotidien, Chanson pour 5 Doigts, née d’une mélodie improvisée à une main avec son fils sur les genoux, ou encore Swing the Swiffer mettant en musique les péripéties de sa chatte Swing et par ses voyages à pied à travers les montagnes du globe (Nilgiris7Premières Neiges).

[…] le grand écart entre l’infiniment petit et l’infiniment grand, entre l’instant présent et le temps qui passe, ajoutant à des influences variées une certaine philosophie bergsonienne. « 

ENA Magazine

Le piano aérien et subtil de Rémi Denis dresse un décor harmonique où virevoltent la trompette de velours de Christophe Leloil et le saxophone tellurique de Sai Nagoya. Quant aux peaux et cordes, le toucher organique du batteur David Carniel et le son boisé du contrebassiste Damien Boutonnet sont magnifiés par un écrin sonore dont le Studio La Buissonne détient le secret. Inspiré par la scène jazz contemporaine Rémi Denis écrit pour le quintet une musique qui reste accessible et mélodique malgré la complexité de ses compositions.

Quant à Rémi Denis, ses compositions ont cette sorte de supplément d’âme qui font que la musique est capable de nous embarquer loin, bien loin. »

Jean-Marc Gelin, les Dernières Nouvelles du Jazz

C’est d’ailleurs cette ambivalence, entre universalité et échafaudage spirituel, que reflète la double signification du nom du groupe : à la fois met simple et très répandu au pays du soleil levant (boulette de riz enroulée dans une algue – onigiri) et littéralement « devoir des démons » (oni : démon de la mythologie japonaise, giri : devoir moral dont le sens échappe à la traduction française).

Les cadres mouvants des morceaux sont autant d’écrins dans lesquels les interactions entre musiciens se révèlent d’un naturel confondant. »

Laurent Dussutour, Journal Ventilo